Un des plus grands problèmes rencontrés lors de la modernisation thermique d’un bâtiment est la manifestation de la moisissure. Les administrateurs d’immeubles reçoivent centaines demandes par an, concernant l’apparition des fungus sur les parois. Les habitants attendent l’élimination de ces invasions fongiques. Est-ce toujours la faute de l’administrateur ? Comment se débrouiller avec les moisissures qui se manifestent sur les murs et sont nocifs pour notre santé?
D’une extrêmité à l’autre, c’est-à-dire les fenêtres étanches! Lors de longues années les fenêtres non étanches ont causé un refroidissement abusif des appartements. Et maintenant presque tout le monde demande les fenêtres étanches, en pensant qu’il fera chaud chez eux et qu’on fera aussi des économies. L’effet est cependant temporaire et les conséquences des problèmes de santé et pour le bâtiment même sont très surprenantes et négatives. Dans presque tous les appartements la ventillation est demarrée par gravité. Cela veut dire que, sauf les grilles de ventillation, étant le point de sortie de l’air « usé » on doit aussi assurer les points par lesquels l’air frais pourra accéder. Auparavant, c’étaient les non-étanchéités des fenêtres, exigées par le droit de construction et les normes de construction adéquates.
Après avoir remplacé de vieilles fenêtres par plus modernes et étanches, le problème de l’accès de l’air frais apparaît. L’humidité résultant des processus de vie quotidienne (lavage, cuisine, bains) doit aussi sortir à l’extérieur. Et les fenêtres étanches rendent cette sortie de l’air humide impossible. Ce phénomène, dans la première étape, est reconnu en raison des vitres embués. Puis, le surtrop d’humidité se condense sur les murs en causant le développement des fungus et des moisissures. L’air devient mauvais dans les intérieurs ayant les fenêtres étanches.
Pour que nos clients puissent éviter de tels dangers, Oknoplan leur propose l’entrée automatique d’air.
Lors de la première étape d’utilisation, les fenêtres étanches nous donnent de grandes économies de chauffage. Cependant, à la suite, les effets sont déplorables. Les gens sousestiment la circulation d’air qui est une seule voie d’évacuation de la vapeur et d’autres composants chimiques de tels que le dioxyde de carbone, les dissolvants des peintures, formaldéhyde ou les acariens à l’extérieur.
La liste ci-dessous témoigne de la quantité de vapeur qui peut se produire dans un intérieur:
- Plantes en pot – env. 7-15 g/h,
- Bain en baignoire – env. 1000-1100 g/h,
- Bain sous la douche – env. 1500-2000 g/h,
- Cuisson dans un ustensile env. 1000-2000 g/h,
- Lave-vaisselle– env.200 g/une partie de vaisselle
- Lavage dans la machine à laver – env. 200-350 g/une partie de lavage
- Séchage des vêtements – env. 2000 g/h,
- Habitants – sommeil – env. 50 g/h,
- Travaux légers – env. 90 g/h,
- Travaux durs – env. 340 g/h.